Ces derniers jours...

La connexion internet est revenue... pour combien de temps ?
Le japon est certe moderne, mais apparemment la technologie a ses limites: 3 jours sans internet : /
Me revoilà, à essayer de vous décrire mes 4 dernières journées à Tokyo.

Dimanche
Après un réveil chaotique vers 11h, j'ai décidé de faire un petit tour d'Akasaka (mon vrai quartier) avec des collègues.
Akasaka est un des quartiers voisins de Roppongi 5 la station de métro suivante sur une des lignes du métro). Malgré cela, tout y est beaucoup plus calme, avec de nombreuses petites rues peuplées en majorité par des restaurants de toutes nationalités. Je ne me suis pas attardé sur l'art culinaire japonais ce jour là, j'étais plus en mode "repérage de supermarchés", car jusque là, je ne me fournissais que dans un combini en bas de ma résidence (un combini est comparable à l'épicier du coin, sauf qu'ici, on parle de chaine de magasins et que des japonais sont derrière le comptoir).
J'ai donc pu découvrir, en suivant les conseils de mon chef-chef Noel, un petit magasin servant de fournisseur à un certain nombre de restaurants du quartier. On est loin de Metro et de ses entrepots: ici, seulement 2 petits étages (on ne doit pas depasser les 200mètres carré), un pour les fruits, légumes et produits de la mer, l'autre pour les volails et viandes (dont l'entrée est bizarrement dissimulée).
De manière générale, les fruits et légumes sont assez chers, car importés (une pomme vaut entre 1 et 2 euros). Les poissons et autres fruits de mer sont très bon marché, on trouve facilement des pièces entières pour moins d'un euro (vous me demanderez quels poissons... et bien ceux qui nagent :p). Au sous-sol, la viande est plus onéreuse, surtout pour le boeuf. Il est toutefois possible de trouver des steacks par trois à moins de 5 euros. La volaille est par contre l'affaire du siècle, avec 5 cuisses pour 50 cents d'euro (la grippe aviaire fait aussi des ravages au Japon).
Après cette visite forte intéressante, nous nous sommes dirigés vers un immense escalier, qui menait à une place qu'on ne pouvait pas deviner depuis le bas. Quelques centaines de marches après, nous avons pu découvrir un temple (apparemment dédié au singe et aux archers), typiquement japonais. Le plus déroutant était sans aucun doute que, derrière ses toitures en tuiles, les buildings de verre et d'acier s'élevaient au ciel pour lui faire de l'ombre.

Lundi
Premier jour de travaille à la Société Générale TK.
Me voilà donc dés 8h45 à la tour Ark Mori d'Akasaka pour faire mes adieux à la vie étudiante (quoiqu'officiellement, étant donné que c'est un stage de fin d'études, je le suis encore).
Après une visite d'un peu plus d'une heure aux Ressources Humaintes pour remplir (ou non) les différents formlaires d'admission, me voilà devant mes deux écrans d'ordinateur(s) pour tapoter des macros excel.
11:45, heure de la pause déjeuner. Rendez-vous au "Aux Bacchanales3, un des restaurants hébergés par la tour Ark Mori. Ce bistrot français, avec une décoration qui rappelle celle des établissements parisiens, propose tous les plats qui pourraient me manquer dans les prochains 12 mois (à part la fameuse tartiflette, fondue et raclette savoyardes).
12:45, retour au 15ème étage pour continuer sa journée de codeur fou.
20:00 (environ), je revois enfin le soleil... enfin plutôt la lune... ha non (je précise que le nouvel an chinois cad la nouvelle année lunaire a débuté la veille), les étoiles... non plus (polution oblige), la nuit noire.

Mardi
Levé difficilenent, je me prépare a une journée identique à la précédente. Et je n'ai pas de surprise.
Il y a beaucoup de travail, tant mieux, la journée passe d'autant plus vite. Il ne faut pas croire que ce que je fais ne m'emballe pas. Bien au contraire! Le part d'informatique me permet d'accéder au monde de la Finance, avec les subtilités particulières au Japon.

Mercredi_
Dois-je vraiment la décrire ?
Et bien, le midi, nous avons fait un déjeuner avec toute l'équipe (composée de la moitié de japonais). J'ai pu apprendre un peu de vocabulaire local. Cela me motive pour m'inscrire aux cours de japonais, dispensés au sein de la SG.

Je n'ai pas pu faire de photos ces derniers jours, n'ayant pas de chargeur de piles. Mais il est prévu que d'ici la fin de semaine, je m'en procure un.
Les journées de 12h sont assez épuisantes, je n'ai donc pas une inspiration débordante pour vous raconter les petits détails de ma vie au quotidien. Je tâcherais d'être en forme ce weekend pour vous en dire plus.

Administration nippone et Roppongi

Hier (vendredi) fut une grosse journée: un rendez-vous avec R.S. Network (entreprise de "relocation") était prévu depuis plus d'une semaine afin que je m'enregistre au bureau de l'immigration de Minato-ku (le "ku" est comparable à l'arrondissement parisien), que j'ouvre un compte en banque local et, à l'occasion, que je souscrive à un forfait téléphonique (motivé par mes collègues de travail qui m'ont affirmé que cela était indispensable dans la ville).

J'ai donc rencontré Akiko (jeune femme s'occupant de mon dossier) en début d'aprés-midi et nous sommes allés en taxi jusqu'à l'administration nippone afin d'officialiser ma présence pour une longue période (obligatoire pour tout étranger restant plus de 90 jours au Japon, sinon un visa n'est pas nécessaire). Cette dernière n'est vraiment pas comparable à ce qu'on peut avoir en France: le bâtiment est imposant, propose un nombre de guichets assez important et il n'y a pas ou peu d'attente. D'ailleurs, même s'il y en avait eu, les japonais n'auraient jamais bougonner ou piétiner.
Me voilà donc devant une employée de l'administration qui me demande (par l'intermédiaire d'Akiko) de remplir un dossier d'enregistrement. Heureusement que j'étais accompagné, car comme vous pourriez l'imaginer, tous les formulaires administratifs (même pour les étrangers!) sont en japonais (Hiragana). C'est une aventure rien que pour trouver le champ dédié à votre nom. D'ailleurs, vous devez renseigner votre nom en Romanji (avec notre alphabet) et en Katakana (le leur, pour les mots étrangers). On m'a donc demandé de dire mon nom afin qu'elle puisse le retranscrire sur le dossier.
Pour en revenir à la comparaison avec l'administration française, ici point d'attente prolongée, ni de soupirs des employés du bureau: en quelques minutes vous avez ce que vous demandiez (nous avons dû pourtant passer par deux guichets différents), avec les remerciements en plus! Le bureau de l'immigration est une très bonne adresse, je vous la recommande :-)

Ensuite, nous sommes allés à Roppongi Hills (un des centres commerciaux du coin, assez huppé) afin d'ouvrir un compte en banque à la Shingsei Bank. Les hôtesses, très accueillantes, vous donnent alors des formulaires (toujours en japonais), vous installent dans une sorte de salon et restent à vos côtés. J'avais l'impression d'être un ministre: on prend mon dossier, il disparaît, puis revient, avec toutes les excuses du monde, car j'avais omis un champ du formulaire (tiens donc, comment est-ce possible ?!). S'excuser pour une erreur que j'ai commise, c'est un comble, mais apparemment normal au Japon.
Après toutes les formalités effectuées, on me demande de quelle couleur je veux ma carte de crédit (surprise!). Sur le moment, c'était un peu l'incompréhension. On me présente un livre avec toutes les couleurs possibles (allez, silver, comme ça c'est réglé). Je pensais en avoir terminé là, mais non. On me propose alors une carte visa (car la précédente ne peut être utilisée que pour retirer de l'argent dans des distributeurs automatiques), qui de plus est gratuite pour la première année (cela tombe bien, je ne reste que 12 mois). Et là, se présente un choix très difficile: American Express standard ou gold ? Akiko me dit de prendre la gold, alors je n'insiste pas :-)
En sortant de la banque, une idée me vient en tête: je n'ai pas déposé d'argent sur ce nouveau compte (comme on me l'aurait demandé en France). Je questionne alors Akiko à ce sujet, peut-être que les employées de la banque ne voulaient pas m'offenser en me le demandant. Apparemment, cela n'est pas nécessaire. Si par la suite, je veux déposer de l'argent sur mon compte, je pourrais passer par les distributeurs automatiques (qui font donc aussi office d'agences).

Nous avons terminé l'aprés-midi chez SoftBank, société de téléphonie. Akiko n'ayant pas beaucoup de temps, elle n'a pu m'accompagner que pour le début des procédures de souscriptions.
Arrivé dans le magasin (design façon apple, tout en blanc), et après quelques minutes d'attente, quelqu'un s'occupe de moi et me présente les différents téléphones (en anglais, nous sommes à Roppongi Crossing). là, j'ai le droit à tous les modèles, des standards, trouvables en Europe, aux plus exotiques (avec écran panoramique, pad pour jouer, etc.). Ne désirant pas m'aventurer dans les marques dont le nom est imprononçable, je décide prendre un téléphone Samsung (modèle 709SC, multilingue).
Une fois le téléphone choisi, je dois attendre qu'un commercial me prenne en charge (c'est la première fois que j'attends 30 minutes pou être servi au Japon!). Par chance, je me retrouve avec une étrangère (j'imagine russe, par rapport à son accent) qui me présente tous les types de forfaits. Allez, hop, forfait Orange (environ 2H+illimité vers les téléphones SoftBank, au Japon, on ne souscrit par pour un temps de communication, mais pour un crédit de communication), avec Internet gratuit pendant 2 mois. Le téléphone devant être activé, je dois retirer au magasin 1 heure plus tard.


Voici déjà depuis de 2 jours que découvre mon nouveau quartier (Roppongi/Akasaka).
On peut lui distinguer deux facettes bien différentes: la vie de jour est essentiellement composée d'hommes d'affaire, de "fashion victimes" faisant du shopping dans les boutiques hightech de Roppongi Hills. La route quant à elle est peuplée par les fameux taxis verts qui desservent les différentes tours du quartier.
La vie nocturne est par contre animée par toutes les lumières des enseignes publicitaires et les voitures de sport et de luxe. Roppongi est connue pour ses bars, ses restaurants, ses boites et ses clubs privés. D'ailleurs, il est rare de ne pas croiser de grands "blacks", typés armoires à glace/videurs de boites, vous proposant l'entrée de leurs clubs de strip-tease. C'est assez rigolo de les voir parmi tous ses japonais qui leurs arrivent à peine à la taille.
Les japonais, eux, sont tous alors en "tenue de soirée" pour les jeunes. Les moins jeunes, étant dans la vie active, sont en costume, sortant tout juste du travail (en général, on est libéré vers 20h30-21h de ses obligations professionnelles). Le quartier fourmille aussi de nombreux étrangers, de toutes les nationalités. On ne se croirait presque pas au Japon, s'il n'y avait pas ses messages publicitaires en Hiragana/Katakana (les hiéroglyphes japonais).

Hier soir, avec l'arrivée d'une collègue à Tokyo, nous sommes sortis à plusieurs dîner dans un restaurant Izakaya, servant plusieurs petits plats à table pour essentiellement agrémenter les boissons alcoolisées (cela revient à un apéritif typiquement japonais, mais qui devient pour nous un dîner complet).
L'entrée, tout en bois avec porte coulissante traditionnelle (automatique, on est à Tokyo!), amène à un escalier descendant à ce qu'on pourrait appeler une cave à Paris, sauf qu'ici la décoration est typiquement japonaise. Nous avons alors droit au salut de tout le restaurant (jusqu'au cuisinier au fin fond de la remise). Je ne sais d'ailleurs toujours pas ce qu'ils disent exactement... cela doit sans aucun doute être le message de bienvenue (qui est scandé dans tous les magasins de la ville). On voit donc qu'on est encore dans le pays de l'extrême respect.
On nous accompagne donc dans un "box", fermé du reste du restaurant par des tissus suspendus (il faudra que je pense à faire des photos, ce sera plus parlant). On est vraiment coupé de tous les autres clients, et au final c'est très agréable. Pour appeler les serveurs/serveuses, il suffit d'appuyer sur un petit interrupteur et quelques secondes plus tard on vient à votre table. En parlant justement des employés des restaurants (et généralement des magasins, même si c'est moins vrai), ils ne parlent pratiquement jamais anglais. C'est assez marrant de passer commande avec eux, ils restent toujours souriants, rient avec nous, essaient de trouver quelqu'un qui parle anglais, restent gênés de ne pas pouvoir nous répondre. Au bout de 2-3 minutes, on demande quelques plats (la moitié au hasard, tous n'ayant pas une photo descriptive) et des verres d'Umeshu (alcool de prune).
Au final, j'ai trouvé ce restaurant très agréable et vraiment très bon (nous avons goûté à des sashimis, yakitoris, salade, morceaux de thon panés, omelette garnie de nouilles et une sorte de beignet pané avec de la pomme de terre à l'intérieur... enfin je crois que c'était ça!).

Après le dîner, nous avons fait un tour de Roppongi, prenant repères des différents bars (surtout pour les prochains rendez-vous sportifs... vive les matchs de football et rugby à 4h du matin!) et découvrant les vendeurs de kebabs (la viande avait l'air suspecte, surtout pour 250 yens, moins de 2 euros) proposés dans des camionnettes.

Roppongi est vraiment un quartier cosmopolite (car lieu où se trouvent toutes les tours des multinationales). Il est vraiment très agréable d'y vivre (d'autant plus que la rue où je vie actuellement est très calme).

Pour fini, voici deux photos de mon appartement actuel (appartement hotel, à Akasaka):

Akasaka1

Akasaka2

Note: Je ne peux pour le moment pas mettre à jour ce Tokyoblog aussi souvent que je le voudrais, ayant des problèmes de connexion internet (coupures par demi-journée assez agaçantes)

A la découverte de Tokyo

Me voici enfin arrivé à Tokyo!
Après un peu moins de 12 heures d'avion, 1 heure d'attente à la douane et 2 heures de bus, j'ai pu entrevoir ce que seraient mes prochains jours dans la capitale nippone.
Depuis donc 18h (Tokyo time), la ville, ses règles, ses bizarreries se sont ouvertes à moi. Je vais sans aucun doute oublier pleins de petites anecdotes (décalage horaire oblige), elles viendrons alors par la suite.

Le Japon, pays propre.
C'est dingue comme tout est propre ici: de l'aéroport où tout est blanc et impeccable, aux rues sans poussières, ni déchets. On voit bien que les japonais sont respectueux de la nature! Même l'énergie est puisée par des héoliennes, jonchant la côte (vu depuis l'avion)... mais cela reste utiliser apparemment que par les petits villages et pour l'agriculture.

Technologies
Je savais que le Japon était hightech, mais là c'est le choc: les escalators vous parlent (vivi), la porte des taxis s'ouvrent automatiquement, les écrans géants dans la rue vous présentent des spots publicitaires, les jeunes japonais regardent la télévision sur leurs téléphones avec écran panoramique... et cela n'est sans doute qu'un début!

Le pays des gens de petite taille
Les japonais sont petits par rapport aux européens... euh... aux occidentaux... euh... au reste de la planète en fait! Si vous avez eu l'occasion de voir Lost in Translation, j'ai eu la même mésaventure avec ma douche (elle m'arrive au niveau des épaules et la salle de bain me permet tout juste de rester debout, sans avoir à baisser la tête). Dans l'ascenceur, le mirroir permettant de jeter habituellement un coup d'oeil à votre look doit s'arrêter aux environs de ma poitrine.
Si ca continue, je vais devoir me couper les jambes au niveau des genoux!

Le pays des cascadeurs
J'ai eu la chance d'apercevoir une patrouille de police, en voiture. Et j'ai eu un sourire quand j'ai remarqué qu'ils portaient des casques (comme ceux pour les motards) à l'intérieur de la cabine. A mon avis, il ne faut pas trop les chercher. Ca doit déménager sec lors de courses poursuites!

Le pays du sushi
Enfin, mon premier dîner a été à base de sushis... de vrais sushis (pas comme ceux préparés par des indiens dans la cave à momo)! Noel (mon chefchef tokyoïte) m'a gentillement invité et m'a fait découvrir l'alcool de prune: vraiment très bon, cela se boit comme du sirop et ca cogne comme une liqueur.

Je n'ai pas encore eu le temps de faire de photos du quartier (Roppongi), ni des trucs bizarres disséminés dans toutes la ville, mais je vais y travailler.
Maintenant, il faut absolument que j'aille dormir un petit peu (00:40), sinon je risque de louper mon RDV de demain au service de l'immigration.

Paris je t'aime

Dernière nuit à Paris, derniers préparatifs...

Les 10 derniers jours sont passés à une vitesse vertigineuse: j'ai encore une impression de n'avoir fait qu'un dixième de ce que j'aurai souhaité. Dire aurevoir à la va-vite n'est pas toujours des plus simples, surtout quand il n'est pas possible d'organiser des "pots de départ en masse". Il faut dire que les derniers jours ont été assez alcoolisés (encore hier, de 10h du matin à l'un des derniers métro, j'ai eu l'occasion de revisiter un bon nombre de cocktails, et même d'inogurer ma future accoutumance au sake japonais!).

Enfin, grâce à vous tous, je garderai un dernier très bon souvenir de Paris, de ses rues, de ses bars, de ses restaurants, de ses habitants ;-)
Allez, qu'est-ce que c'est 1 an... j'ai l'impression de partir en vacances (et de changer de genre avec mes 45kg de bagages!) :p

Rendez-vous donc dans quelques jours pour le premier message "live in Tokyo".

Mercredi 14 Février, 18h30.

Enfin LA date est tombée.

J'ai eu la bonne surprise aujourd'hui de recevoir mon fameux COE (Certificate of Eligibility), césame me permettant de prétendre au visa, mais aussi et surtout de pouvoir fixer une date de départ. Je vais donc quitter la France le mercredi 14 Février, 18h30 (sauf s'il neige sur la piste... mais ça, j'y crois à mort!), pour arriver à Tokyo quelques 19 heures et 40 minutes plus tard (je déconne... il faut retirer les 8 heures de décalage entre les deux places).

Bref, dos au mûr, je vais donc devoir commencer à préparer mes valises, mes aurevoirs et mon japonais (ça aussi, j'y crois à mort!).

J'espère pouvoir tous vous revoir au moins une fois avant de partir (oui, même toi qui ne me connais pas...), histoire de ne pas trinquer par webcams interposées.

Wooohoo, il ne me reste plus que 8 jours et un peu plus de 22 heures à Paris... il faut que je fasse une liste pour ne rien oublier!

Ouverture du blog

Pas encore parti et le blog est déjà ouvert. Dingue!

Petit rappel sur le concept (assez simple): ce site est dédié à mes prochains 12 mois au Japon. Il me permettra de vous présenter mes découvertes ninjaesques (© moi), qui je l'espère ne s'arrêteront pas aux sashimis périmés et au labyrinthe underground du métro tokyoïte (ne riez pas, c'est un vrai mot). Curieusement (sans doute par manque de temps), j'ai décidé de ne pas développer directement ce blog avec mes petits doigts. Ayant fait récemment l'acquisition d'un Mac et des différents outils que je pourrais qualifier de "aussi simples qu'un seul bouton sur une souris", j'ai trouvé intéressant de faire ressortir la flemmardise qui sommeillait en moi (juste une petite sieste) et donc d'utiliser un site déjà réalisé. Le design n'est donc pas top (mais bien... c'est dans l'autre sens d'habitude ?!) et reste provisoire (jusqu'au moment où ma fainéantise hibernera de nouveau).

En ce moment même en plein préparatifs de mon départ imminent (la date est encore confidentielle, même les japonais ne sont pas au courant!), je n'ai pas grand chose à vous inventer, à vous faire apprendre... peut-être à part que préparer une expérience d'un an à l'autre bout du monde n'est pas une sinécure (entre les chaussettes non-compatibles tongs, le reblochon incompatible avion et l'accessoire apprentissage de la langue de pikachu).

A très bientôt!

EDIT : Passage sur dotclear. Il reste encore à réaliser un thème : /